Les papilles des becs sucrés sont en alerte. En effet, les fabricants de sucre tirent le sonnette d’alarme. Au train où vont les choses, une recette acidulée risque de disparaître des rayons. Aïe, ça pique !
Après la canicule et les incendies, la sécheresse a un impact sur la fabrication de ces recettes adorées des petits et grands enfants.
Attention, la sécheresse démolit le moral des gourmands !
Depuis quelques années, le sucre est l’ennemi public numéro un. En effet, les experts ne cessent de nous mettre en garde contre sa consommation excessive. Or, à cause de la sécheresse, le rêve des détracteurs pourrait bientôt devenir réalité. De fait, le manque à gagner des exploitants de la canne ou de la betterave est considérable. Que va-t-il se passer dans les prochains mois ? À l’instar de la moutarde, risque -t-on devoir tirer un trait sur nos friandises préférées ? nous vous explique dans les moindres détails. C’est parti, accrochez-vous, nous rentrons dans une zone de turbulences !
La sécheresse continue de faire des dégâts
Depuis juin, Météo-France tente de canaliser les angoisses liées à la canicule. Dans un premier temps, les seniors la redoutent comme la peste. Difficile à supporter en journée et pendant la nuit, l’État n’hésite pas à diffuser des messages de prévention en boucle. S’hydrater régulièrement doit devenir notre priorité. Or, du côté des agriculteurs, on constate que la sécheresse fait des ravages. Manifestement, le conflit en Urkraine ne serait que la pointe visible de l’iceberg. Tout ceci force la Communauté européenne à revoir sa copie en matière d’aide. Est-ce que cela va suffire à apaiser les tourments de la profession ? Le mystère reste entier !
Gare à la pénurie !
Si elle veut combler les besoins des petits et des grands, le quota des importations de sucre ne doit pas faiblir en intensité. Hélas, comme toujours en cas d’inflation, la rareté de certains ingrédients fait gonfler le prix à vue d’œil. Face à ces fameux 8% de hausse, c’est la stupeur. C’est l’évidence, personne n’aurait pu les anticiper. De ce fait, à l’heure actuelle, les artisans qui ont pu sauver les meubles ignorent comment ils pourront appliquer la loi de l’offre et de la demande. C’est pourquoi, après avoir déplorer les conséquences de la sécheresse, une horrible rumeur se progage un peu partout dans les usines. Et si « certains fabricants de chocolat et de bonbons [réduisaient] leurs niveaux de production de sucreries » ?
Affolés par ce bruit de couloir hors norme, les accros à l’or blanc s’organisent et font de la résistance. Dès que la rédaction d’nous en sait un peu plus sur les tenants et les aboutissants de la propagation (ou pas) de la sécheresse, elle se manifestera. A Pâques dernier, le rappel de quasiment toutes les références Kinder avaient déjà jeté un froid entre le client et les distributeurs. Par pitié, d’ic-là, prenez-soin de vous ! Croisons les doigts pour que nous n’ayons que de bonnes nouvelles à vous annoncer à la rentrée.