En ce moment, les Français sont à la croisée des chemins. Obligés de se serrer la ceinture au quotidien, ils ne peuvent même plus se soigner correctement. Débordées par les demandes en paracétamol, les pharmacies tirent la sonnette d’alarme. On vous dit tout !

Le paracétamol fait partie de notre quotidien. Administré aux enfants et adultes, il fait des miracles. Or, cette rumeur de pénurie affole !

Aïe, le paracétamol manque à l’appel !

Après la moutarde, l’huile de tournesol ou le beurre, le paracétamol fait des siennes. Lorsqu’on interroge les autorités à ce sujet, ils déplorent de nombreux « retards d’approvisionnement des formes orales et des suppositoires de paracétamol. » Comment se fait-il que personne au sommet de l’État n’ait anticipé ce rebondissement de taille ? Visiblement, la facture de nos erreurs du passé vient d’arriver. De fait, ces dernières n’ont pas servi de leçon. Sans plus attendre, on vous explique comment les choses vont évoluer en notre défaveur bientôt. C’est parti, accrochez-vous, bouclez votre ceinture, nous rentrons dans une zone de turbulences !
Un air de déjà-vu

Quelques heures après le début du premier confinement, tous les commerces ferment à l’exception des supermarchés et des pharmacies. Très rapidement, les experts sont débordés par les demandes. Par exemple, il n’y a pas de masque et encore moins de gel hydroalcoolique pour pratique les gestes barrières. Quant au classique paracétamol, il disparait des rayons à la vitesse de la lumière. À l’époque, il n’y a pas de vaccin. D’ailleurs, on ne sait pas du tout comment atténuer la douleur liée à cette maladie inconnue. Donc, on utilise les moyens du bord. Et quoi de mieux que ce cachet pour réduire les désagréments tels que la fièvre ou bien les courbatures ?

Va-t-on avoir de paracétamol cet été ?

L’agence du médicament tente de rassurer les troupes. Au lieu de céder à la panique, elle multiplie les déclarations sur les réseaux sociaux. Aussi, elle nous permet de réguler les choses d’ici la rentrée scolaire. En attendant, chacun doit mettre la main à la patte. Pour preuve, ils instaurent temporairement une nouvelle logistique. Le moins qu’nous puisse dire c’est qu’elle fait déjà couler beaucoup d’encre. Même si cela effraie, le leitmotiv est de « répartir équitablement les approvisionnements sur l’ensemble du territoire et de préserver les stocks disponibles dans le temps. » Si on lit entre les lignes, le basculement de la théorie à la pratique s’effectue de la manière suivante. Bien que temporaire, « [l’interdiction] de l’exportation de ces médicaments par les grossistes » est une mini révolution.

Dans toutes les pharmacies, on suggère fortement de ne plus commander autant de paracétamol. D’ailleurs, si les clients ont une ordonnance, c’est encore mieux ! Vous l’avez compris, si vous n’avez pas un « besoin immédiat« , vous devez trouver une solution de secours comme l’usage des plantes ou des huiles essentielles.