Caroline Margeridon fait quelques confidences sur son enfance et sa relation compliquée avec ses parents. Voici ses révélations !

Ce jeudi 4 août, vous avez pu lire une interview de Caroline Margeridon pour nos confrères de chez Gala. Cette dernière s’est confiée sans tabou sur sa jeunesse et ses relations difficiles avec ses parents quand ils étaient encore vivants. L’acheteuse d’Affaire Conclue a avoué qu’elle était en froid avec sa mère depuis des années et qu’elle l’a revu au moment de son décès.

Caroline Margeridon : elle a coupé les ponts avec ses parents jusqu’à leurs décès

Caroline Margeridon est une femme de caractère, rancunière et qui n’oublie rien. L’antiquaire vedette du programme Affaire Conclue a bien voulu en dire davantage sur les conflits qu’elle a eus avec son père, alors qu’elle était encore une enfant. Elle était plus proche de sa mère pendant sa jeunesse, mais cela n’aura pas duré. En effet, elle s’est livré sur la querelle qu’elle a eu également avec sa mère. « Ma mère est morte il y a un an. La dernière fois que je l’ai vue, j’avais 22 ans – et je vais en avoir 56″, a déclaré la brocanteuse sans filtre.

Pourtant, à la base, Caroline Margeridon « adorait (sa) mère » : « J’étais collée à elle, comme une moule à son rocher et j’ai arrêté l’école pour la suivre sur les marchés. Mais elle était joueuse, comme sa propre mère. Je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes pour lui éviter la banqueroute… Un jour, il a fallu que je coupe le cordon. Je suis comme un compteur électrique, j’ai des fusibles, ça s’appelle de la sauvegarde », a expliqué la maman de deux enfants, Alexandre et Victoire.

Une famille idéale en apparence…

Caroline Margeridon a coupé les ponts avec sa mère soudainement. Mais avec son père, la mauvaise entente datait de l’enfance : « Il y a un truc que je déteste par-dessus tout, c’est l’hypocrisie et nous, à l’extérieur, on passait pour la famille idéale avec les Jaguar, la maison à Deauville, les chevaux de polo, mais à la maison, c’était l’enfer. Mon seul souvenir d’enfance, c’est quand je m’enfermais dans ma chambre pour ne plus entendre leurs disputes incessantes. C’est peut-être pourquoi dès le début, je n’ai pas aimé mon père. »