Après 14 ans d’absence, la Star Academy fait son grand retour sur TF1. La dixième saison est annoncée pour le 15 octobre 2022. Le producteur, Michael Goldman, qui n’est autre que le fils du célèbre Jean-Jacques Goldman, sera aux commandes du célèbre château de Dammarie-les-Lys. Quelle a été la réaction du célèbre chanteur français ?

Ça y est ! C’est officiel ! Après 14 ans d’absence, la légendaire Star Academy revient sur TF1 et repart pour une dixième saison ! Après des années d’absence à l’antenne, l’émission culte de télé-crochet présentera très prochainement les nouveaux candidats. Parmi eux, se cachera l’artiste qui succèdera à Jenifer, Nolwenn Leroy, Élodie Frégé ou encore Grégory Lemarchal…

Le compte à rebours a donc commencé ! Rendez-vous en prime-time et en direct, le samedi 15 octobre prochain sur TF1. En effet, la première chaîne l’a annoncé ce mardi 27 septembre. Aux commandes du château de Dammarie-les-Lys, le producteur Michael Goldman, qui n’est autre que le fils du célèbre Jean-Jacques Goldman. Et que pense donc le discret papa du nouveau job de son fils ?

Le fils de Jean-Jacques Goldman aux commandes

C’est chose faite ! TF1 a enfin annoncé officiellement le retour de la Star Academy pour le 15 octobre. Elle sera à l’antenne dès 21 h 10 et tous les jours à 17 h 30. La première chaine a annoncé en même temps la participation de Michael Goldman (43 ans), le fils de Jean-Jacques Goldman en tant que directeur de la Star Academy.

À la présentation de l’emblématique télécrochet, les téléspectateurs retrouveront l’incontournable Nikos Aliagas. « Ça me fait tout drôle », a d’ailleurs écrit le célèbre animateur sur Instagram. C’était déjà lui qui était sur scène, micro en main, lors du lancement de l’émission il y a 21 ans. En revanche, il se pourrait, selon Le Parisien, qu’il soit en compagnie d’une « co-animatrice », dont le nom est encore un mystère.

L’émission se déroulera bien-sûr au château de Dammarie-les-Lys et accueillera 13 jeunes chanteurs amateurs.

Aux côtés du fils de Jean-Jacques Goldman, nous retrouverons 5 professeurs (danse, sport, chant, théâtre et expression scénique). Aussi, 2 répétitrices formeront les académiciens durant les 2 mois de compétition avec, à la clé pour le gagnant 100 000 euros et la signature d’un contrat pour un album avec la maison de disque Sony Music Entertainment France.

« Pour être tout à fait honnête, j’ai hésité un moment à faire partie de cette aventure et j’ai dit oui en assistant au casting car les mômes m’ont fait craquer, » a confié le nouveau directeur de la Star Academy dans les colonnes du Parisien ce mardi 27 septembre. « Tu vois passer 200 jeunes, tu veux tous les prendre dans tes bras, les aider. Cela a duré quatre jours. Mais j’aime tellement que j’aurais pu faire cela deux mois d’affilée. », a ajouté le fils de Jean-Jacques Goldman.
« Il m’a félicité »

Et au producteur de poursuivre : « Depuis que je suis gamin, j’adore l’idée de découvrir des artistes (…). Je n’ai jamais été hyper intéressé par l’idée de travailler sur le troisième album d’un artiste qui marche déjà (…). En revanche, le fait de découvrir un diamant, de l’orienter ou de l’aider à s’accomplir m’a toujours excité ».

Michaël Goldman se doute bien que ses moindres mouvements seront passés au crible du fait de son statut de « fils de ». Mais le producteur affirme qu’il sera égal à lui-même. « Avec les élèves et les profs, on va être dans le même bateau, on gagnera tous à ce que cette émission soit réussie. Donc que les primes soient top, que les performances soient bonnes. C’est notre responsabilité. Je vais avoir un bureau au château… Je vais peut-être amener une chauffeuse pour pouvoir y dormir si je suis épuisé » a confié le nouveau directeur en riant.

Manifestement, le choix du nouveau boss de la Star Academy n’a pas surpris son célèbre et si discret papa. Qu’en a pensé Jean-Jacques Goldman ? « Il m’a félicité quand il a su que j’allais faire l’émission. Je ne suis pas sûr qu’il ait la télé mais la Star Ac, c’est une des seules émissions où il avait fait un peu de promotion donc il s’en souvenait bien » a raconté Michael Goldman au Parisien.