Après deux ans de pandémie, on pensait enfin avoir conjuré le mauvais sort. Hélas, nous n’a pas une bonne nouvelle à vous annoncer. Dans ces régions, le pourcentage de décès atteint un plafond jamais atteint. Aïe, ça pique !

Pas évident de se remettre de la mort d’un nourrisson. En analysant les chiffres, les autorités sont en panique. On vous dit tout !
Paix aux âmes de ces nourrissons partis trop tôt…

Santé publique France arrive à saturation. Après deux ans de coronavirus, l’organisme pensait en avoir fini avec les tragédies. Or, ce n’était que l’arbre qui cachait la forêt. En effet, lorsque les spécialistes clôturent leurs investigations, ils n’en reviennent pas. Pour la première fois depuis des décennies, les nourrissons sont sur le devant de la scène. Au lieu de rester stables, les décès sont en nette croissance. Comment expliquer cet horrible phénomène ? Court-on à la catastrophe ou existe-t-il un moyen de déjouer les plans de la Faucheuse ? Sans plus attendre, nous vous donne des éléments de réponse. Accrochez-vous et bouclez votre ceinture, nous rentrons dans une zone de turbulences !
Vigilance accrue dans ces départements

Toutes les sage-femmes vous le diront. Le premier mois d’un nourrisson est déterminant pour la suite. Aussi, en regardant les causes de ces drames, les scientifiques tombent à la renverse. Vu le pourcentage, ils estiment que les maternités doivent impérativement réévaluer leur copie. L’objectif est d’« inverser les tendances ces prochaines années ». Va-t-on y parvenir sans y laisser des plumes ? Par exemple, dans la métropole, en une décennie, on comptabilise deux disparitions pour un peu près 1 000 accouchements.

Notre équipe se souvient avec émotion de la mort du second bébé de cette participante mythique de L’amour est dans le pré. Incapable de s’en remettre, elle avait préféré partager sa peine avec ses followers. Ce chiffre donne des frissons. Aussi, sur la carte de l’hexagone, les auteurs du rapport commencent par pointer du doigts ces cinq régions. Que se passe-t-il vraiment en Île-de-France, en Auvergne-Rhône-Alpes, dans les Hauts-de-France, en Normandie et dans les établissements da Nouvelle-Aquitaine ?

Dans les DOM-TOM, c’est la panique !

Mais ce n’est rien comparé à ce qu’nous s’apprête à vous révéler. Juste avant le début du confinement, on pouvait multiplier par deux le pourcentage précédent. Cette fois, on a des arguments qui ne laisseront personne indifférent. Ces « grandes inégalités territoriales » doivent à tout prix cesser. Une fois encore, on va localiser où se trouvent les familles endeuillées. Contre toute attente, la Mayotte et la Guyane sont dans le peloton de tête. Qu’on se le dise, plus au moins 30 % des futures mamans vivent en dessous du seuil de pauvreté. Aujourd’hui, ce n’est plus acceptable d’accueillir un nourrisson dans de telles conditions. C’est pourquoi, pour le reste du quinquennat, les équipes de François Braun ont du pain sur la planche. Pas facile de se frayer un chemin parmi les ruines d’un système hospitalier à bout de souffle ! Courage à eux !