Présenté comme vulnérable et sensible, n’hésitant pas à pleurer dans les bras de Nathalie Péchalat, Jean Dujardin n’a besoin de « pleurer » cette fois. Un commentaire très élogieux sur son dernier rôle ne pourrait que lui faire du bien.

Le magazine Public avait immortalisé l’acteur à Soulac-sur-mer, où il se serait offert une maison à 1,5 million d’euros.

Et au détour de ce dossier, il est présenté comme très « angoissé et vulnérable ». Il se remettrait énormément en question « Il aime pouvoir pleurer », dans les bras de la mère de sa fille Jeanne. « Pleurer sur l’épaule d’une femme est une preuve d’amour », avait indiqué l’acteur émérite.

Comme le rapporte l’Obs, cette prétendue vulnérabilité ne l’empêche pas d’être très crédible en flic dans «Novembre » (en salle le 5 octobre).

Dans cette dernière réalisation de Ce?dric Jimenez, il est question de l’enque?te de cinq jours qui a suivi les attentats du 13 novembre 2015.

La mari de Nathalie Péchalat « trouve ici un ro?le qui panache la gravite?, l’urgence et l’e?motion. À 50 ans, la star de « Un gars, une fille » et de « OSS 117 » est a? l’oppose? de son image de fantaisiste : il habite son personnage, avec une fie?vre communicative ».
Jean Dujardin « atteint une ve?rite? qui n’est donne?e qu’aux grands acteurs ».