Dans le monde entier, on définit la France comme le pays de la gastronomie. Or, de plus en plus d’histoires de rappel ternissent cette réputation. Et ce n’est pas le dernier en date qui va changer les choses !

Ce rappel ne pourrait laisser personne indifférent ! En effet, si on aime le fromage, ne pas avoir sa ration quotidienne sème le chaos !

Impossible de passer à côté de ce rappel !

Pour certains d’entre vous, le fromage, c’est fondamental. De fait, habitué à en acheter en supermarché, on ne fait même plus attention aux ingrédients. D’ailleurs, on pense naïvement qu’il n’y a pas trop de différences entre la version traditionnelle et celle sortie tout droit des usines. Comme on peut le constater dans la vidéo ci-dessus, c’est justement l’inverse. Fabriqué en série, il y a souvent des couacs dont on ignorait l’existence… jusqu’à ce que ce rappel vienne tout gâcher. Depuis quelques mois, les associations de consommateurs mettent la pression. En réclamant davantage de transparence, ils chamboulent tous nos repères. Et pour cause, les retombées de la catastrophe des chocolats Kinder sont encore dans toutes les mémoires. Est-ce un avertissement pour la suite ? À votre avis, s’agit-il de l’arbre qui cache la forêt ? nous fait le point !

C’est une catastrophe !

On ne pensait pas à la société De Riblaire en mesure d’avoir une influence sur notre alimentation. Or, quand on regarde la liste de tous les produits qu’elle fabrique, on tombe à la renverse. Du reste, en tapant sur son nom dans un moteur de recherche, vous risquez d’avoir de mauvaises surprises. De surcroit, il y a quelques heures, une bouteille à la mer évoque la présence de « corps étrangers métalliques » dans pas mal de références. Pire encore, l’absorption involontaire de ces fromages mérite largement le coup de projecteur d’nous. Plus que jamais, et davantage que pour des histoires de bactérie, il y a « risque de blessures ou d’effets indésirables » dans l’organisme.

Si vous faites vos courses chez Carrefour, Intermarché, Leader Price ou Super U, nous est au regret de vous annoncer que pouvez malheureusement être une potentielle victime ce rappel. Mises en vente depuis la fin-août, on imagine sans peine tous ces apéritifs où le chèvre a été régulièrement l’invité d’honneur. Et si vos amis ou votre famille ont eu des effets secondaires, il ne faut pas chercher d’autres explications que celle que nous venons de vous fournir. Jusqu’à la mi-octobre, vous devez impérativement vous manifester auprès du responsable du magasin.

Remboursement, élaboration d’un avoir, après constatation de ce rappel, vous avez mille et une possibilités afin de faire valoir vos droits. Cette fois, ne tombez pas dans le piège de la culpabilité autour du gaspillage alimentaire. Après presque trois ans de pandémie et de protocole sanitaire, ce genre d’actualité vous indique que vous devez vous préserver de ce type de dommages collatéraux. À bon entendeur !